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Affichage des articles du juin, 2023

Divagation

Toujours fauché, mais j’ai réussi à avoir un crédit. Ca m’inquiète déjà de le rembourser. Les prix de la pub sont toujours aussi bas. J’essaie de faire le max avec Google News avec des articles pour rester dans la tendance. L’IA m’aide dans ce sens. L’autre salope commence à voler et me pomper du fric comme une véritable suceuse. Ce pays de négros est en effondrement total. Il n’y a rien qui va. Je tente de trouver un boulot de rédacteur, mais pour une annonce, il y a 1000 offres et personne ne veut d’un chomeur de 40 ans. Ce monde pue la merde. Le suicide est toujours présent avec des hauts et des bas. Les femelles ont pris le pouvoir et le système ressemble donc à une chatte faisandée. Je suis tellement fatigué. Je repense constamment aux moments d’enfant. Je pense à Maman, Papa, à Ali, à tiktik ou encore à Tsiro. Des morts m’accompagnent davantage que les vivants. Je suis tellement las et fatigué. De me battre chaque jour, sans que cela ne s’arrange jamais.

Downsizing, jusqu'où peut aller l'écologie délirante

En zappant à la télé, j’ai pu voir Downsizing, un film sorti en 2017 avec Matt Damons et honnêtement, il a beaucoup d’intérêts, car c’est une critique de l’écologie délirante. Dans le futur, on découvre une technologie qui permet de miniaturiser les êtres humains. Ils peuvent faire que quelques centimètres. Et on va promouvoir cette technologie pour lutter contre la surpopulation et le gaspillage des ressources. Mais surtout, cela permet d’augmenter son niveau de vie de manière exponentielle. Un couple endetté jusqu’au cou, Matt Damons et sa femme, vont faire la transition, mais au dernier moment, sa pétasse de femme, comme d’habitude, c’est toujours la femelle qui fout la merde, se désiste et Matt Damons se retrouve riquiqui tout seul dans son coin. Même si en surface, cela parait idyllique, car les dépenses sont minimes, le paradoxe est qu’on voulant protéger la nature, on s’éloigne totalement d’elle. On est obligé de vivre dans un parc résidentiel entièrement stérilisé appelé Leisur

Le suicide ou la pauvreté extrême

C’est toujours la dèche, tellement que je pense à me suicider. Parce que soit, c’est ça ou la pauvreté extrême. Les revenus Adsense sont tellement en chute libre que je n’atteindrais plus mon seuil de paiement, ce qui fait que je ne pourrais plus payer le loyer. Les sponsos sont inexistants et je n’arrive pas à retrouver un boulot de rédacteur web puisque le monde entier est fauché. J’avais déjà tenté de mettre fin à mes jours quand j’étais adolescent. C’est lié à l’alcoolisme du pique-assiette . J’avais pris du raticide, mais au final, vous vous rendez compte que vous allez juste vomir quelques heures plus tard et dans les semaines qui suivent, vous aurez des poignards qui vont déchirer vos entrailles. Ma pauvre mère semblait avoir compris quelque chose. Et je m’étais promis de me raccrocher à cette vie de merde par tous les moyens. Personne ne veut débarquer au paradis comme un indésirable. Mais là, je vois l’échec de tous les cotés, je n’ai pas une seule bonne nouvelle à l’horizon,

La normalisation de la pédophilie en Occident

Il est assez insupportable de voir qu’en Occident, que ce soit aux Etats-Unis, en France, en Angleterre, vous avez un véritable matraquage médiatique pour légaliser et normaliser la pédophilie. Ainsi, on ne doit même plus dire pédophile, mais personne attirée par les mineurs (minor attracted person) de même que le terme de secte a été remplacé par nouvelle religion. La novlangue permet de supprimer le sens des mots. Ce qui est abject devient licite par un abus de langage. Ce qui arrive par exemple à Greg Toussaint qui a dénoncé les dérives de l’élite médiatique, qui balancent des livres où on apprend des actes sexuels aux enfants et à normaliser la fellation ou la sodomie est parlant. Il s’est fait supprimer sa chaine YT et il est poursuivi en justice pour incitation à la haine. Donc, gare à vous si vous êtes contre les pédophiles, car vous êtes contre la loi. L’Occident est entré dans sa phase finale de décrépitude, mais aussi de régression anthropologique combinée à un plaquage sur l