The Rookie : Des nègres au sommet

La série The Rookie, qui passe actuellement à la téloche, fait partie de ces nombreuses variantes du wok. On élève des noirs et des femelles au sommet parmi les personnages principaux et les blancs sont considéré systématiquement comme des paillassons ou des fils de pute. Très proche du féminisme scandinave, qui est le plus délirant, ce wokisme permet d’échapper à l’écoeurement du LGTB. Mais le message est toujours aussi abject.

En sachant que la série est ancienne, datant de 2018 et on voit déjà l’infection du wokisme où les noirs ont les rôles principaux et que tout le système est inversé. Parmi les femelles, ils ont mis aussi une latino bien pulpeuse parce que généralement, les woks bavent devant des corps qu’ils ne pourront jamais avoir ou conquérir, de ce fait, cette latino se fait sauter par le prétendu personnage principal qui est le rookie.

La série parle de lui, un homme blanc de 40 ans qui se reconvertit dans la police. Et donc, il devient le paillasson de service, supportant les pires humiliations. Donc, il saute cette latino qui est 15 ans plus jeune que lui et on retrouve cette normalisation de la pédophilie en Occident et dans le wokisme, mais en prenant des tranches d’âge où ça passe inapercu. Et cette latino utilise le féminisme de domination parce que c’est elle qui tient la culotte, elle rompt et rafistole la relation quand elle veut et l’homme blanc n’est davantage qu’une bite en plastique avec laquelle on peut jouer comme on veut.

Ce qui est terrible est qu’il y a un personnage qui est le supérieur de ce rookie. C’est une femme noire, double jackpot wok, qui va rabaisser le petit blanc de 40 ans de toutes les manières. Elle joue le personnage dur, qui respecte toujours la loi. Mais étrangement, quand c’est des négros qui sont les méchants, elle leur trouve toujours une excuse. Tandis que les blancs, tous les prétextes sont bons pour les enfoncer. Ce wokisme supprime aussi les luttes de classe.

Dans un épisode, la noire va mettre la main sur une ado qui déteste être dans une famille d’accueil, car cette dernière la maltraite. Et plutôt que de compatir et de donner quelques baffes bien senties à la famille d’accueil, la négresse flic va harceler l’ado en disant qu’elle ne doit pas s’apitoyer sur son sort et que c’est pour son bien d’avoir des valeurs de travail. Non, grosse truie, c’est une ado, elle doit s’amuser et faire la fête, ensuite, elle pourra bosser comme agent de circulation, payé au lance-pierre. C’est là tout l’abomination du wokisme/suprématiste noir qui est que le système actuel est juste, mais que les problèmes sont uniquement sociétaux. Ouin, ouin, je ne réussis pas parce que je suis noire, gouine, pédé, trans, etc. Le concept d’une société capitaliste prédatrice est haram et il ne faut pas la critiquer et c’est normal puisque c’est ce système prédateur qui a créé le wokisme pour faire de la disociété.

The Rookie est le genre de série wok qui transpire la propagande par tous ces pores. Et encore, j’apprécie certains de ses aspects comparé à un Private Eyes où déjà les mecs ont recyclé des acteurs has been depuis les années 1980, mais en plus, c’est full Wok en mode pédé, gouine et travelo. Il n’y a que ça dans tous les épisodes et c’est assez écoeurant. Et le pire est que ce sont des séries qui sont pires que les merdes qu’on voit sur Netflix. Vivement les séries chinoises ou indiennes !