Thomas Pesquet et Franc-maçonnerie : Historique des preuves

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  • Ci-dessous, le parcours de Thomas Pesquet et ses liens avec la franc-maçonnerie qui l’ont accompagné depuis qu’il a été au lycée.


    • Bac S au Lycée Jehan Ango – Un lycée très proche du Grand Orient de France. C’est le premier contact entre Thomas Pesquet et la franc-maconnerie. Même si les franc-mac n’ont pas l’habitude d’aller à la pêche, cette fois, ils ont conscient de l’importance du jeune homme.
    • Classe Prépa au lycée Pierre-Corneille à Rouen – La ville de Rouen est un bastion des petites sociétés franc-maçonnes, notamment dans le domaine des arts et des métiers. Plusieurs proviseurs de ce lycée ont admis publiquement leur foi à la franc-maconnerie dans les années 1990. Pesquet y sera surveillé de manière attentive.
    • Formation d’ingénieur aéronotique à ISAE-SUPAERO – Dans cet institut, Pesquet va développer son réseau franc-maçon, notamment vis à vis des sociétés franc-maçonnes anglo-saxonnes.
    • Master en aéronautique à l’École Polytechnique de Montréal, à l’Université Concordia et à l’Université McGill – Il y passera seulement 1 an, mais cette année sera décisive, car l’université McGill est historiquement connu pour ses amitiés franc-maconnes. En fait, l’un de ses fondateurs a été Grand Maitre de la Grande Loge du Québec, la plus importante loge de franc-maconnerie du pays. Le séjour de Pesquet sera l’occasion de nombreuses rencontres au sein de la loge, mais surtout, il va se connecter aux Young Leaders qui sont des hommes et femmes triés sur le volet par les élites anglo-saxonnes et c’est la version moderne, bien plus malveillante de la franc-maçonnerie.
    • CNES de 2002 à 2004 – De retour en France, sa carrière boostée par tous ses réseaux franc-maçon, Thomas Pesquet va devenir la coluche médiatique avec son entrée au CNES. Comme la plupart des grands organismes de recherche en France, ce centre national des études spatiales regorge de franc-maçons.
    • Spationaute à partir de 2008 – Beaucoup de choses ont été dites sur cette fameuse campagne de recrutement de l’Agence spatiale européenne en 2008. La manière dont le dossier de Thomas Pesquet a systématiquement été sélectionné, les faux scandales sur ses concurrents directs, notamment le médecin qui venait de la Loire, bien plus qualifié, mais qui n’avait pas des habits de franc-maçons dans sa valise. Le blog du regretté Jean Derloyet regorgeait d’informations sur ce qui était arrivé à ce médecin, les campagnes de diffamation et les pires saloperies lancés par le CNES et le CNRS. La mort de Jean Derloyet en 2017, 6 semaines après le dossier en 3 parties sur Thomas Pesquet est d’autant plus suspecte. Sa famille estime que cet accident de voiture est tout sauf accidentel. Chose encore plus étrange, le blog disparait sans laisser de trace et la plateforme Blogger refuse d’expliquer la suppression jusqu’à aujourd’hui.

    Sur ses différentes missions spatiales, je ne commenterais pas sur les choses qu’il a pu dire dont il faut lire entre les lignes, mais aussi sa gestuelle quand il était à bord de l’ISS et sur d’autres missions. Je pense simplement que la franc-maçonnerie n’a pas mis le grappin sur Thomas Pesquet pour qu’il sourisse simplement aux médias et que toutes ces choses qu’il a fait dans l’espace ont un sens bien plus caché et maléfique que nous ne le pensons. Cependant, ici, je m’attache à dresser la factualité de son historique qui est totalement mêlé aux réseaux français et internationaux de la franc-maçonnerie.

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    La Rédaction

    Rédacteur en chef, écorché vif, éternel raleur, conservateur et nationaliste. Parle parfois de vape.

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